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25 août 2006

LE JOUR OU MON COEUR A BATTU POUR ...

LA FRANCE : 09 Juillet 2006 à Rome

Mon coeur s'est réveillé au tout début de l’après-midi au cours de notre balade au Trastevere (quartier derrière le Tibre) en raison de la présence massive de vendeurs ambulants de drapeaux italiens… puis celle des vendeurs de faire- part de mort de Zidane !!! et puis il y eut cette rencontre avec ces joyeux supporters français remplis d’espoir…

Coupe_du_monde_1

19 h : métro cap sur le Circo Massimo où un écran géant avait été installé…

Coupe_du_monde_2

Arrivée au Circo Massimo

Métro bondé comme on peut l’imaginer… Surecxitation générale… les portes s’ouvrent…

Nous sommes happées par la foule qui scande : « Francesi, filli di … »…

A cet instant-là, mon cœur a commencé à battre pour la France, pour les Bleus… C’est arrivé comme çà, tout à coup et contre toute attente (je n’aime pas le foot et je ne suis pas patriote) et  je n’ai rien pu faire pour l’éviter…

On dit que c’est à l’étranger que l’on ressent le sentiment d’appartenance à une nation… Qu'en pensez-vous ?

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Commentaires
D
Chère Maya, je me souviens surtout de la mauvaise humeur de nos deux fils, ce soir-là et les avoir engu... de faire la gu... pour une kh... nnerie pareille ! Ceci dit, c'est beau de voir les gens heureux... (Sur ta photo du bas, on dirait les sourires de la Libération en 1945 !)
N
Oui c'est certain que c'est à l'étranger que l'on ressent le plus l'appartenance à son propre pays, et cela est bien, ce sont nos racines ... et ça n'empèche pas d'apprécier les autres.<br /> <br /> Bisous
A
Aimer sa famille, son village, sa région, son pays, ses racines n’empêche pas d’aimer les autres.<br /> Cela fait parti de nous, c’est une richesse à partager comme on partage celle des autres.
Z
L'exemple que tu prends est particulier, Maya. Même en France, il était difficile de ne pas se sentir happé par cette fièvre bleue. Alors si tu te trouvais à l'étranger à ce moment-là, c'était encore renforcé. Et si tu te trouvais en Italie, je pense que se sentir Français était inévitable, surtout dans le climat anti-Zidane qui régnait alors. Sentiment mêlé de patriotisme et de volonté de défendre un "héros" national qui a tant de sympathie de la part du public français. Bon, enfin, ce que j'en dis... Bisous
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